Nouvelles pénalités pour les branches dont les minima sont inférieurs au SMIC
Les Echos rapporte que les députés ont adopté une mesure visant à réduire les allègements de charges pour les entreprises opérant dans des branches professionnelles où les salaires minimaux restent en dessous du SMIC. Cette décision, prise contre l’avis du gouvernement, soulève des questions sur sa fragilité juridique et sur son impact potentiel, notamment pour de nombreuses PME qui pourraient voir leurs charges augmenter.
Les Echos (économie)
Rejet de l'obligation du Nutri-score sur les emballages
Le Figaro et Cnews indiquent que l’Assemblée nationale a rejeté la généralisation obligatoire du Nutri-score sur les produits alimentaires. Initialement adoptée en première lecture, la mesure prévoyant de sanctionner les entreprises réticentes par une taxe sur le chiffre d’affaires n’a finalement pas passé l’étape de la deuxième lecture, illustrant la division des députés sur cette question de santé publique.
Le Figaro
Cnews
Adoption d’une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées
Selon Le Figaro et Cnews, les députés ont voté en faveur d’une nouvelle taxe visant spécifiquement les boissons énergisantes contenant de l’alcool. Cette mesure soulève des inquiétudes parmi certains élus qui craignent qu’elle ne s’étende à d’autres types d’alcools, tels que les « rhums fruités » et les productions régionales, ce qui pourrait perturber certains marchés locaux.
Le Figaro
Cnews
Évolutions du projet de budget de la Sécurité sociale : focus sur les laboratoires pharmaceutiques
Les Echos met en avant que le projet de budget de la Sécurité sociale, actuellement en deuxième lecture, intègre également une taxation spécifique pour les laboratoires pharmaceutiques. Cette disposition intervient dans un contexte plus large de révision des recettes de la Sécurité sociale et vise à renforcer la contribution du secteur pharmaceutique au financement du système.
Les Echos (économie)
Scénario d’absence ou de retard de budget pour la Sécurité sociale
France Info rapporte que Sébastien Lecornu, ministre en charge, a mandaté le directeur de la Sécurité sociale pour évaluer les conséquences d’une absence ou d’un retard dans l’adoption du budget. Le gouvernement anticipe un déficit qui pourrait atteindre 29 à 30 milliards d’euros dans ce scénario, soulignant l’importance cruciale du vote du budget pour la stabilité financière du système.
France Info