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Nicolas Sarkozy, ancien président français, a été jugé coupable d'association de malfaiteurs dans l'affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007, selon le tribunal correctionnel de Paris. Cependant, il a été relaxé des chefs de corruption passive. Ses collaborateurs proches, Claude Guéant et Brice Hortefeux, ont également été reconnus coupables de divers délits, notamment de corruption passive et de faux pour le premier, et d'association de malfaiteurs pour le second, rapporte L'Express. Cette décision, bien qu'attendue, réactive les débats sur l'intégrité politique et le rôle de la justice dans la gestion des affaires d'État. Si certains saluent une démarche judiciaire rigoureuse, d'autres y voient une polarisation croissante du traitement réservé aux anciens dirigeants. Source 5 Source 4

L'ancien président de l'Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, a officialisé sa candidature à la mairie de Lyon dans une lettre adressée aux citoyens lyonnais. Soutenu par Les Républicains, Horizons et Renaissance, il se positionne en alternative au maire écologiste sortant, Grégory Doucet, lors des élections municipales prévues en mars 2026. Challenges souligne qu'Aulas, figure emblématique de la gestion sportive, pourrait apporter une dynamique nouvelle à la politique locale, mais son manque d'expérience dans les affaires publiques pourrait constituer une faiblesse. Cette candidature illustre aussi l'attrait croissant des personnalités issues de la société civile pour les fonctions politiques. Source 6 Source 31 Source 32

Le président français, Emmanuel Macron, a exhorté les pays de l'OTAN à adopter une réponse plus ferme face aux "nouvelles provocations" de la Russie, notamment dans l'espace aérien en Europe de l'Est. France Info rapporte que cette déclaration intervient dans un contexte marqué par des survols de drones d'origine inconnue au-dessus de plusieurs aéroports danois. Tandis que certains saluent cette position pour renforcer l'unité occidentale, d'autres craignent une escalade inutile dans un conflit déjà complexe. La diplomatie européenne semble ici chercher un équilibre délicat entre fermeté et prudence. Source 2 Source 10

Pour la première fois depuis 1967, un président syrien a pris la parole devant l'Assemblée générale de l'ONU. Selon Le Monde, ce discours marque une tentative de la Syrie, dirigée par un président de transition, de retrouver une certaine légitimité internationale après des décennies d'isolement. Derrière cet événement historique se cache une demande explicite de levée des sanctions internationales. Tandis que les partisans de ce retour saluent une opportunité pour stabiliser la région, les opposants dénoncent une tentative de normaliser un régime encore marqué par des exactions passées. Source 17

Selon des estimations rapportées par Libération, la Corée du Nord disposerait de deux tonnes d'uranium hautement enrichi, suffisant pour produire une cinquantaine de bombes atomiques. Ce constat alarmant, partagé par la Fédération des scientifiques américains, a été relayé par le gouvernement sud-coréen. Cette révélation met en lumière l'inefficacité des sanctions internationales à freiner les ambitions nucléaires de Pyongyang. La situation pourrait exacerber les tensions dans la région et relancer les appels à une reprise des négociations multilatérales. Source 12 Source 23 Source 26

Le nombre d'interruptions volontaires de grossesse (IVG) en France a dépassé les 250 000 en 2024, révèle une étude de la Drees publiée par Libération. La tendance à la hausse, observée depuis plusieurs années, soulève des questions sur l'accès à la contraception, l'éducation sexuelle et le soutien aux femmes en difficulté. Tandis que certains demandent un renforcement des politiques de prévention, d'autres soulignent la nécessité de préserver le droit des femmes à disposer de leur corps. Source 7

La Cour des comptes française s'inquiète de la santé financière d'EDF, rapporte France Info. Avec des besoins d'investissement colossaux de 460 milliards d'euros d'ici 2040, l'énergéticien public fait face à des défis de financement considérables. Cette situation critique souligne la dépendance énergétique de la France aux infrastructures vieillissantes et pousse à réfléchir à des modèles de financement plus durables. Source 8

La dette publique française atteint désormais 3 416 milliards d'euros, soit 115,6 % du PIB, un niveau inédit. Selon Le Figaro, ce chiffre place la France dans une position délicate au sein de l'Europe, où elle est souvent perçue comme réticente à engager les réformes nécessaires. Ce record relance le débat sur la gestion budgétaire et les choix économiques structurants pour l'avenir du pays. Source 21 Source 22

Le président chinois, Xi Jinping, a annoncé une réduction des émissions nettes de gaz à effet de serre de 7 à 10 % d'ici 2035, rapporte L'Opinion. Bien que ces objectifs soient jugés modestes par les experts, certains estiment que la Chine pourrait dépasser ces engagements grâce à sa transition rapide vers les énergies renouvelables. Toutefois, la lenteur de cette ambition à court terme pourrait compromettre les efforts globaux pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C. Source 9