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Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, a été reconnu coupable d'association de malfaiteurs dans le cadre de l’affaire de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Toutefois, il a été relaxé des accusations de corruption passive et de recel de détournement de fonds publics. Selon L'Express, Claude Guéant et Brice Hortefeux, proches collaborateurs de Sarkozy, ont également été reconnus coupables pour divers chefs d’accusation. Les peines restent à prononcer. Cette condamnation relance les débats sur l’éthique et la transparence des financements politiques en France, un enjeu central pour la confiance des citoyens dans leurs institutions. Source 4 Source 5

L’ancien président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a officialisé sa candidature à la mairie de Lyon. Selon Challenges, il est soutenu par Les Républicains, Horizons et Renaissance, et compte se positionner comme alternative face au maire écologiste en place, Grégory Doucet. Cette entrée en politique d’une figure du monde sportif suscite des interrogations sur la capacité d’Aulas à transposer son expérience entrepreneuriale dans la gestion publique. Source 6 Source 31

Nommé Premier ministre il y a plus de deux semaines, Sébastien Lecornu n’a toujours pas constitué son gouvernement, un délai qui pourrait établir un record. D’après Le Figaro, cette situation reflète des tensions internes au sein de la majorité, où les équilibres entre les différents courants politiques semblent difficiles à trouver. Ce retard pourrait miner la crédibilité du nouveau cabinet face à un calendrier législatif déjà chargé. Source 30

Le Premier ministre danois a annoncé un renforcement des capacités de détection de drones après des survols suspects sur plusieurs aéroports, indique Le Monde. Certains analystes évoquent une possible origine russe, bien que cela n’ait pas été confirmé. Cette situation s’ajoute aux tensions croissantes en Europe de l’Est, où Emmanuel Macron appelle l’OTAN à adopter une posture plus ferme envers Moscou, selon France Info. Ces événements soulignent une fragilité sécuritaire persistante sur le continent, où la frontière entre espionnage, provocation et guerre hybride reste floue. Source 2 Source 10 Source 29

Pour la première fois depuis 1967, un chef d’État syrien s’est exprimé à l’ONU. D’après Le Monde, le président de transition a demandé la levée des sanctions internationales, affirmant que la Syrie reprend sa place parmi les nations. Bien que symbolique, ce discours marque une étape significative dans les efforts de Damas pour briser son isolement. Toutefois, des critiques persistent quant à l’absence d’avancées sur les droits humains et la reconstruction post-conflit. Source 16

Les données de la Drees, citées par Libération, révèlent une hausse continue des interruptions volontaires de grossesse (IVG) en France, atteignant plus de 250 000 en 2024. Ce chiffre reflète des évolutions sociétales mais pose aussi des questions sur l’accès à la contraception et l’éducation sexuelle. Le débat reste vif entre les défenseurs des droits des femmes et les opposants à l’avortement. Source 7

Un rapport de la Fédération internationale pour les droits humains dénonce une détérioration des libertés publiques en France depuis 2017, rapporte Le Monde. L’étude souligne des restrictions successives affectant l’expression et l’action citoyenne. Cette analyse intervient dans un contexte où la polarisation politique et la défiance à l’égard des institutions demeurent fortes. Source 32

La Cour des comptes s’alarme des incertitudes financières qui pèsent sur EDF, selon France Info. Alors que l’entreprise doit investir 460 milliards d’euros d’ici 2040, son modèle économique suscite des interrogations. Cette situation complexe reflète des défis structurels dans un secteur stratégique, où les pressions écologiques et économiques s’intensifient. Source 8

La dette publique française atteint désormais 115,6 % du PIB, un record absolu, selon L'Express. Cette trajectoire inquiète, d’autant plus que le gouvernement tarde à proposer des réformes structurelles pour enrayer cette tendance. Ces chiffres risquent de compliquer la gestion budgétaire et de creuser les fractures politiques et sociales. Source 22 Source 27

Xi Jinping a annoncé que la Chine réduira ses émissions nettes de gaz à effet de serre de 7 à 10 % d’ici 2035, rapporte L'Opinion. Bien que jugé insuffisant par de nombreux experts, cet engagement pourrait être dépassé grâce aux investissements chinois dans les énergies renouvelables. Cependant, la lenteur des efforts risque de compromettre les objectifs mondiaux de limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C. Source 9