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Le Premier ministre Sébastien Lecornu a transmis une « feuille de route gouvernementale » dans la nuit de samedi à dimanche aux partis du « socle commun », incluant Les Républicains, le MoDem, Renaissance, Horizons, et l’UDI. Selon Le Monde, cette initiative vise à consolider une coalition fragile avant la présentation de son gouvernement et une déclaration de politique générale prévue mardi. Parmi les priorités annoncées : un budget pour 2026, des réformes fiscales et sociales, ainsi qu’une lutte accrue contre l’immigration irrégulière. Cependant, Les Républicains et le MoDem ont exprimé des réserves, exigeant des garanties sur des sujets clés tels que la sécurité et la fiscalité. Cette situation reflète les tensions inhérentes à une majorité relative et les défis d’un consensus politique dans un contexte de forte fragmentation. Source 1 Source 6 Source 10 Source 14

Dans un entretien avec France Info, Olivier Faure, chef du Parti socialiste, a averti que son parti pourrait voter une motion de censure si le gouvernement Lecornu ne modifie pas ses priorités budgétaires. Le socialiste a salué le renoncement au 49.3, mais juge cette concession insuffisante, exigeant un débat sur l’abrogation de la réforme des retraites de 2023. Cette position met en lumière la pression que les partis de gauche exercent sur Matignon, tout en soulignant leurs frustrations face à l’insuffisance des gestes en leur direction. Source 8 Source 28 Source 29

Selon L'Opinion, Les Républicains, par la voix de Bruno Retailleau, ont intensifié leurs demandes pour participer au gouvernement. Ces exigences concernent notamment une réforme de l’immigration, une baisse des impôts de production, et un tiers des postes ministériels réservés à leur parti. Cette posture illustre leur stratégie de maintenir une identité politique distincte face au risque de dilution dans la macronie, tout en négociant un rôle clé dans le futur exécutif. Source 6 Source 22 Source 25

Le Figaro rapporte qu’Andrej Babiš, ancien Premier ministre et homme d’affaires, a remporté une victoire écrasante aux législatives tchèques avec 34,51 % des voix. Cependant, sans majorité absolue, il devra gouverner en s’appuyant sur des alliances ponctuelles, notamment avec des partis d’extrême droite. Son programme, marqué par une rhétorique populiste et un repli sur les questions nationales, pourrait toutefois compliquer ses relations avec l’Union européenne, notamment sur l’aide à l’Ukraine. Source 2 Source 18

D’après Le Monde, une frappe russe a tué quatre personnes dans l’oblast de Lviv et causé d’importants dégâts à Zaporijjia, où 73 000 usagers sont privés d’électricité. Les autorités ukrainiennes dénoncent une stratégie visant à semer la panique en ciblant les infrastructures civiles et ferroviaires essentielles. Cette montée en intensité souligne la complexité croissante du conflit et le coût humain élevé de la guerre, exacerbant les tensions internationales. Source 7 Source 11 Source 12

Selon Libération, des négociateurs israéliens et palestiniens se réunissent ce dimanche au Caire pour discuter du plan de paix proposé par Donald Trump, qui inclut un cessez-le-feu, un échange d’otages, et le désarmement du Hamas. Bien que prometteur, ce plan rencontre des résistances des deux côtés, notamment sur le retrait progressif israélien et le rôle futur du Hamas. L’incertitude demeure quant à la mise en œuvre d’un tel accord dans un contexte de méfiance mutuelle. Source 17 Source 27 Source 38

Libération met en lumière le documentaire « Mr. Nobody Against Putin », coréalisé par Pasha Talankin et David Borenstein, qui explore les mécanismes de désinformation orchestrés par le Kremlin. Ce film illustre l’envergure des efforts déployés pour manipuler l’opinion publique, tant en Russie qu’à l’étranger. Cette production constitue une contribution essentielle pour déchiffrer l’impact de la propagande sur les perceptions internationales et les démocraties occidentales. Source 33

Des manifestations massives ont eu lieu ce week-end à Rome, Barcelone et Dublin, avec des slogans dénonçant le blocus israélien et appelant à la fin des violences à Gaza. Selon L'Opinion, un million de personnes auraient participé à Rome, où la mobilisation a pris une tournure fortement symbolique. Ces rassemblements montrent une montée en puissance des revendications écologiques et humanitaires, soulignant une solidarité internationale accrue. Source 16 Source 19 Source 23