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France Info rapporte que Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre le 9 septembre 2025, a présenté sa démission à Emmanuel Macron seulement douze heures après l'annonce de son gouvernement. Cette décision fait suite à des tensions au sein de la coalition gouvernementale et à des critiques véhémentes des oppositions. La composition de son équipe, marquée par des reconductions controversées comme celles de Bruno Le Maire et Éric Woerth, avait suscité une fronde au sein du "socle commun". Sa courte mandature plonge la France dans une crise politique "sans précédent", selon les commentateurs, et place Emmanuel Macron sous pression, avec des appels à la dissolution de l'Assemblée ou même à sa démission. La France Insoumise, par exemple, milite pour un examen immédiat de la motion de destitution du Président. Source 6 Source 20 Source 26 Source 31

Le Figaro note que la démission de Lecornu a renforcé les appels à une dissolution de l'Assemblée nationale. Marine Le Pen, présidente des députés du Rassemblement national, a déclaré que cette décision était "absolument nécessaire" pour restaurer une stabilité politique. De son côté, Jordan Bardella, président du RN, a également insisté sur l'urgence d'un retour aux urnes, affirmant que "la stabilité ne peut être retrouvée sans une nouvelle consultation populaire". Ces déclarations traduisent une volonté des oppositions de capitaliser sur la faiblesse actuelle de l'exécutif. Source 15 Source 25

D'après France Info, la composition du gouvernement Lecornu reflétait des divisions internes profondes, notamment au sein des Républicains, dont certains membres, comme Bruno Retailleau, ont critiqué le manque de rupture promise. De plus, l'UDI a officiellement quitté le "socle commun", réduisant davantage le soutien parlementaire à l'exécutif. Cette démission met en lumière les difficultés structurelles d'une coalition fragmentée et incapable de s'accorder sur une ligne politique claire. Source 6 Source 19 Source 26

Libération indique que les réactions à la démission de Lecornu ont varié selon les partis : Olivier Faure, premier secrétaire du PS, a salué la "dignité" de Lecornu tout en appelant à une redéfinition politique. À l'opposé, les écologistes, par la voix de Marine Tondelier, ont dénoncé une "situation tragique" et un "spectacle désolant". Cette multiplicité des réactions illustre la polarisation accrue du paysage politique français face à une crise institutionnelle majeure. Source 20 Source 17

Selon L'Express, des négociations indirectes entre Israël et le Hamas ont débuté en Égypte pour mettre fin à deux ans de guerre dans la bande de Gaza. Ces pourparlers, soutenus par un plan de paix proposé par Donald Trump, incluent des mesures telles que la libération des otages et le désarmement progressif du Hamas. Cependant, les divisions internes du Hamas et les exigences israéliennes, comme un retrait partiel de Gaza, compliquent les discussions. Ce processus, bien que prometteur, reste fragile dans un contexte de méfiance mutuelle et de pressions internationales. Source 22 Source 34 Source 38

L'Opinion rapporte que Sanae Takaichi, proche de l'idéologie de Shinzo Abe, a été désignée Première ministre. Son profil conservateur, marqué par des positions fermes sur l'immigration et la famille, reflète une dérive droitière du paysage politique japonais pour répondre à la montée du populisme. Ce choix pourrait accentuer les tensions régionales, notamment avec la Chine et la Corée du Sud, tout en consolidant l'agenda nationaliste du Japon. Source 8 Source 35

Libération révèle qu'un quart des associations de solidarité en France sont menacées de disparition en raison de difficultés financières croissantes. La Fédération des acteurs de la solidarité alerte sur les impacts de ces fermetures sur les populations précaires, alors que la demande pour ces services augmente. Cette crise illustre un désengagement progressif de l'État vis-à-vis du secteur associatif, laissant les plus vulnérables sans soutien suffisant. Source 10

D'après France Info, la démission de Lecornu a entraîné des turbulences sur les marchés financiers. Le CAC 40 a chuté de 2 %, et le taux d'emprunt français à dix ans a temporairement dépassé 3,60 %, alimentant les craintes d'une dégradation de la note souveraine. Ces fluctuations reflètent l'incertitude des investisseurs face à une gouvernance fragilisée et soulignent les risques économiques d'une instabilité politique prolongée. Source 7 Source 16

France Info rapporte que les frappes israéliennes à Gaza ont provoqué une catastrophe humanitaire, avec plus de 67 000 morts et un état de famine déclaré par l'ONU. Les accusations de génocide portées contre Israël montrent l'ampleur des violations des droits humains dans le conflit. Ces développements soulignent l'urgence d'une solution diplomatique pour éviter une escalade supplémentaire. Source 34