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Sébastien Lecornu, Premier ministre depuis seulement 27 jours, a présenté sa démission à Emmanuel Macron lundi matin, quelques heures après l’annonce de son gouvernement. Selon France Info, cette démission intervient après des tensions internes au sein de la coalition gouvernementale, notamment avec Les Républicains et l’UDI, qui ont exprimé leur désaccord face à la composition du gouvernement. L’équipe ministérielle, décriée pour son manque de renouvellement, n’a pas su convaincre ni apaiser les oppositions politiques. Cette crise marque un tournant majeur et place le président Macron dans une position délicate, face à des appels croissants à la dissolution de l’Assemblée nationale. Source 1 Source 2 Source 4 Source 25

La démission de Sébastien Lecornu a intensifié les appels à des changements structurels. Marine Le Pen, présidente des députés du Rassemblement national, a déclaré que la dissolution de l’Assemblée nationale était "absolument nécessaire". De son côté, La France insoumise a réclamé un examen immédiat de la motion de destitution d’Emmanuel Macron déposée en septembre. Cette dualité illustre un climat politique polarisé où aucun consensus ne semble émerger, rendant l’avenir institutionnel incertain. Le Figaro rapporte que 104 députés, incluant des élus écologistes et communistes, soutiennent cette motion. Source 21 Source 22 Source 23

Les tensions entre Sébastien Lecornu et Les Républicains ont joué un rôle déterminant dans cette crise. Selon Le Figaro, plusieurs figures de la droite, dont Bruno Retailleau, se sont senties trahies par les promesses non tenues du Premier ministre au sujet de la composition du gouvernement. Cette rupture a précipité l’effondrement du soutien de cette formation politique, soulignant les défis de gouvernance dans un contexte de majorité relative.

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Des négociations indirectes entre Israël, le Hamas et les États-Unis ont commencé lundi en Égypte, dans l’espoir de mettre un terme à une guerre qui dure depuis près de deux ans. L’Opinion rapporte que le plan proposé par Donald Trump inclut un cessez-le-feu, la libération des otages et un retrait progressif des troupes israéliennes. Cependant, le désarmement du Hamas reste un point de friction. Bien que ces discussions puissent ouvrir une voie vers la paix, les tensions sur le terrain, marquées par des frappes continues, fragilisent les perspectives d’un accord durable. Source 34 Source 39

Au Maroc, des manifestations massives, organisées depuis neuf jours, réclament des réformes structurelles et la démission du Premier ministre Aziz Akhannouch. Le Monde rapporte que ces protestations, portées par une jeunesse en colère, dénoncent la corruption et l’inefficacité gouvernementale. Cette mobilisation met en lumière un mécontentement croissant envers les élites politiques marocaines et pourrait inciter le roi Mohammed VI à prendre des mesures importantes.

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Le procès de Cédric Jubillar, accusé du meurtre de son épouse Delphine, a pris un tournant avec le témoignage de l’ex-amant de cette dernière. Selon France Info, ce dernier a affirmé avoir "l’intime conviction" que l’accusé est responsable de la disparition. Ce témoignage renforce l’accusation, alors que l’affaire continue de captiver l’opinion publique en raison de ses nombreux rebondissements.

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La démission surprise de Sébastien Lecornu a provoqué une réaction immédiate sur les marchés financiers. France Info rapporte une hausse du taux d’emprunt français à dix ans, atteignant brièvement 3,61%, et une chute du CAC 40 de plus de 2%. Cette volatilité témoigne de l’inquiétude des investisseurs face à l’instabilité politique française, qui pourrait avoir des répercussions sur la politique budgétaire et la crédibilité économique du pays.

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Au Japon, l’élection de Sanae Takaichi à la tête du Parti libéral-démocrate marque un virage conservateur. Selon L’Opinion, cette figure politique, héritière de Shinzo Abe, incarne une droite nationaliste et populiste, répondant à une montée des tensions sociales et économiques. Ce choix pourrait avoir des implications majeures, tant sur la scène intérieure qu’en matière de politique étrangère.

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Les frappes continues sur Gaza et le blocus imposé par Israël ont engendré une crise humanitaire sans précédent. L’ONU a déclaré l’état de famine dans certaines zones, tandis que des accusations de génocide sont formulées contre Israël. Cette situation, rapportée par L’Opinion, souligne l’urgence d’une résolution diplomatique pour éviter une aggravation des souffrances civiles. Source 34