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La démission de Sébastien Lecornu, seulement 12 heures après la présentation de son gouvernement, a provoqué un véritable séisme politique en France. France Info rapporte que cette décision plonge le pays dans une crise politique sans précédent, avec une instabilité institutionnelle exacerbée par les critiques internes et externes à la majorité présidentielle. Le Premier ministre, confronté à une fronde au sein même de sa coalition, a expliqué que « les conditions n’étaient plus remplies » pour exercer ses fonctions. Cette démission soulève des questions cruciales sur la capacité du président Emmanuel Macron à maintenir un cap politique face aux appels croissants à une dissolution de l’Assemblée nationale ou même à sa propre démission. Source 16 Source 33 Source 36

Jordan Bardella, président du Rassemblement National, et Marine Le Pen ont redoublé d’exigences pour une dissolution immédiate de l’Assemblée nationale, suite à la chute du gouvernement Lecornu. Le Figaro indique que selon Mme Le Pen, cette solution est « absolument nécessaire » pour sortir le pays de l’impasse. De son côté, Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise) a réclamé « l’examen immédiat » de la motion de destitution contre le président Macron. Ces revendications, bien qu’attendues, intensifient la polarisation politique, mettant en lumière l’absence d’alternative crédible et consensuelle au sein des forces politiques actuelles. Source 3 Source 24 Source 31

Libération observe que la gauche, notamment le Parti Socialiste, est prise de court et divisée face à la perspective d’une dissolution. Tandis que certains, comme Olivier Faure, saluent la dignité de Lecornu, d’autres redoutent une victoire de l’extrême droite en cas de nouvelles élections. Par ailleurs, La France Insoumise tente de rassembler les partis de gauche pour élaborer une stratégie commune. Cette fragmentation de l’opposition complique toute initiative unifiée face à la crise. Source 4 Source 12

Les réactions politiques à la démission de Lecornu reflètent une classe politique en pleine tourmente. Selon France Info, les Républicains dénoncent une « situation absurde », tandis que le Rassemblement National juge la démission « sage ». Les écologistes et les communistes, quant à eux, critiquent vivement l’échec d’un gouvernement perçu comme déconnecté des attentes populaires. Ce climat tendu démontre l’incapacité des partis à transcender les clivages pour proposer une direction commune. Source 29 Source 30

Des négociations indirectes ont débuté en Égypte entre les délégations israélienne, américaine et du Hamas pour mettre fin à la guerre à Gaza. L'Opinion souligne que les discussions, centrées sur un cessez-le-feu et la libération des otages, sont minées par des désaccords sur le désarmement du Hamas et le retrait israélien. Si le plan proposé par Donald Trump semble ambitieux, les tensions sur le terrain, avec des frappes israéliennes toujours en cours, compromettent les avancées espérées. Ce processus met en lumière les limites des médiations internationales face à des contextes géopolitiques profondément enracinés. Source 39

L'Opinion rapporte une recrudescence des actes antisémites au Royaume-Uni, exacerbée par des événements tragiques tels que l’attaque de Manchester. Cette montée des discriminations suscite une inquiétude croissante au sein de la communauté juive, qui dénonce une banalisation des discours haineux dans le contexte international tendu. Cette situation interpelle sur la nécessité pour les gouvernements européens de renforcer les mesures de lutte contre les discours de haine et les violences ciblées. Source 14

La démission de Sébastien Lecornu a provoqué un effondrement du CAC 40, qui a chuté de plus de 2 %, selon Les Echos. Les banques, notamment BNP Paribas et Crédit Agricole, ont particulièrement souffert, tandis que le taux d’emprunt français à dix ans a bondi, atteignant un seuil critique. Cette instabilité reflète les inquiétudes des investisseurs face à l’incertitude politique et au risque d’une dégradation de la note française sur les marchés internationaux. Cette situation souligne l’interdépendance entre stabilité politique et confiance économique. Source 11 Source 19 Source 20

L'Opinion analyse la position dominante de Nvidia dans le secteur des puces dédiées à l’intelligence artificielle. Malgré une concurrence accrue, notamment de la part de Google et Amazon, Nvidia maintient son avance grâce à une stratégie intégrée combinant matériel et logiciels. Cependant, la montée en puissance de la Chine et les efforts pour contourner les restrictions américaines pourraient progressivement remodeler ce paysage technologique. Source 26