audiovisuel public, violences faites aux femmes...

Le Progrès et Dernières Nouvelles d'Alsace rapportent que la commission d'enquête sur l'audiovisuel public débute ce mardi. Le président de l'Arcom sera auditionné à 16h30, marquant le lancement d'une série d'auditions qui s'étendra jusqu'à début mars. Ces travaux visent à examiner en profondeur les enjeux de neutralité, de financement et de gouvernance des médias publics en France. Le contexte tendu autour de ces institutions, amplifié par des polémiques récentes, risque d'alimenter les débats. Le Progrès Dernières Nouvelles d'Alsace

Libération décrit une ambiance hostile autour des auditions parlementaires sur l'audiovisuel public, qualifiées par certains de commission "contre" plutôt que "sur". Ces auditions, initiées par Éric Ciotti, mettent en cause la neutralité et le fonctionnement des services publics, notamment après les controverses ayant impliqué des personnalités médiatiques. La polarisation politique autour de ces institutions souligne une fracture sur leur rôle et leur impartialité. Libération

Selon Le Point, la commission d'enquête parlementaire sur l'audiovisuel public s'apprête à examiner des questions délicates telles que la gestion financière et les conflits d’intérêts. Ces interrogations surviennent alors que les critiques sur la perception de la neutralité des médias publics se multiplient. Les auditions à venir pourraient révéler des tensions internes persistantes. Le point

RFI rapporte que l'ancien conseiller éditorial Michael Prescott a dénoncé devant un comité parlementaire britannique des dysfonctionnements structurels au sein de la BBC. Il pointe notamment des biais dans la couverture médiatique de sujets sensibles comme Gaza ou les questions de genre. Prescott critique également une gestion réactive plutôt que proactive des crises éditoriales, ce qui met en lumière des failles dans l'adaptation de l'institution. RFI

À Nairobi, la pièce Free Me, inspirée de la vie de sa productrice Gathoni Kimuyu, met en lumière les violences conjugales au Kenya. RFI explique que cette oeuvre s'inscrit dans un contexte alarmant où un tiers des femmes entre 15 et 49 ans ont subi des violences physiques. L'art devient un outil puissant pour sensibiliser et transformer les normes sociales face à ce fléau. RFI

RFI cite le quotidien espagnol El Pais, qui souligne que les violences sexistes restent la forme de violence la plus répandue à l'échelle mondiale, surpassant les conflits armés en termes d'impact sur les vies humaines. Ce rappel intervient lors de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, mettant en lumière l'importance d'un engagement global. RFI

Le rôle du théâtre dans le combat contre les violences faites aux femmes est exemplifié par Free Me, une pièce jouée au Kenya. Cette initiative artistique rejoint d'autres efforts mondiaux pour dénoncer les violences sexistes et souligner la résilience des survivantes. La pièce est un témoignage poignant du pouvoir de l'art dans la lutte sociale. RFI